• Cucuron est un de ces villages qu'aima Henri Bosco, parce qu'ils sont encore de la montagne mais qu'ils ont le regard tourné vers la plaine.

    CUCURON ( Vaucluse)

    CUCURON ( Vaucluse)

     

    Situé dans le département du Vaucluse, au cœur du Grand Lubéron, appelé aussi la Montagne Bleue, Cucuron étale ses maisons, ses rues et ses fontaines entre les deux monuments qui bornent sa partie ancienne : le donjon Saint-Michel et l'église Notre-Dame de Beaulieu.

    CUCURON ( Vaucluse)

      

    L'église Notre-Dame de Beaulieu domine le village : c'est un fleuron de l'art roman provençal et gothique.

     CUCURON ( Vaucluse)

    Eglise : son ensemble est remarquable car il est d'une grande unité.

    CUCURON ( Vaucluse)

    Façade de l'église

    CUCURON ( Vaucluse)

    Le portail est encadré d'un éventail de colonnettes fines et gracieuses, le tympan simplement gravé de rosaces.

    CUCURON ( Vaucluse)

    Le clocher-tour, donnant toute sa puissance à l'ensemble a été ajouté en 1624.

    CUCURON ( Vaucluse)

    CUCURON ( Vaucluse) : début

    Le Maître autel

    CUCURON ( Vaucluse)

    Intérieur de l'église

    CUCURON ( Vaucluse)

    Le Christ enchaîné

    Ce Christ enchaîné, taillé dans une même pièce de bois, constitue une pièce rare au regard du patrimoine.

    CUCURON ( Vaucluse) : 1

    La suite demain !


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  • Ce jour je quitte la Puisaye, et destination la Provence où j'ai séjourné deux semaines durant l'été en 2008.

    ALLEINS ( Bouches-du-Rhône)

    Au cœur de la Provence, Alleins est un village calme dans lequel il fait bon flâner.

    ALLEINS ( Bouches-du-Rhône)

    Nous arrivons par la tour de l'Horloge ou beffroi.

    Cette tour carrée est un vestige de l'ancien rempart. C'est une des portes d'accès au village ; elle date du XVIème siècle ; on y remarque des fragments de frise gallo-romaine.

    ALLEINS ( Bouches-du-Rhône)

    Vue intérieure

    Le porche passé, les petites rues étroites et anciennes nous conduisent à la chapelle des Pénitents.

    ALLEINS ( Bouches-du-Rhône)

    C'est un bâtiment privé ; la façade date de la fin du XVIIème siècle, époque Louis XIV.

    Les confréries des Pénitents étaient courantes sous l'Ancien Régime.

    Nous rejoignons ensuite le portail Cousset, aujourd'hui détruit :

    ALLEINS ( Bouches-du-Rhône)

    et nous montons vers le château où plutôt ce qu'il en reste :

    ALLEINS ( Bouches-du-Rhône)

    ALLEINS ( Bouches-du-Rhône)

    Histoire du château :

    - vers le XIème siècle : les archives évoquent un "castrum". Les fouilles de 2001 ont confirmé la présence d'une occupation durant cette époque, dans les niveaux les plus profonds.

    - au XIIème siècle : le château devient la propriété des Comtes de Provence.

    - au XIIIème siècle : il passe entre les mains de l'archevêque de Marseille , Benoît d'Alignan.

    - à la fin du XVème siècle : arrivée des Renaud, famille d'origine arlésienne, très proche du pouvoir royal ; ils obtiennent cette seigneurie en remboursement de frais  engagés au service du Roi. Reconstruction du château.

    - à la fin du XVIIème siècle : par lettres patentes de mars 1693, Louis XIV érige la seigneurie d'Alleins en marquisat.

    - 1789 : la Révolution

    En mai 1790, le château ainsi que l'ensemble des propriétés des Renaud sont vendus

    comme biens nationaux. Les bâtiments sont démantelés.

    ALLEINS ( Bouches-du-Rhône)

    Vu de l'extérieur, portail du château

    Il marquait l'entrée du château des Renaud d'Alleins ; à droite, on distingue la petite porte piétonne.

    ALLEINS ( Bouches-du-Rhône)

    Vu de l'intérieur

    Sous sa forme actuelle il date de la fin du XVIIème siècle ce qui correspond à l'époque où César de Renaud devient marquis ; les quatre meurtrières pouvaient être ouvertes ou fermées .

    ALLEINS ( Bouches-du-Rhône)

    L'esplanade du château

    Sur cette esplanade s'élevait la chapelle du château : des membres de la famille Renaud ont pu y être baptisés, s'y sont mariés, y ont été enterrés. A cause du mauvais état de la chapelle Saint-Pierre, cette chapelle a servi aussi de chapelle paroissiale dès le XVème siècle. Elle fut démolie au XVIIIème siècle.

    ALLEINS ( Bouches-du-Rhône)

    L'esplanade vue sous un autre angle.

    La tour escalier :

    ALLEINS ( Bouches-du-Rhône)

    ALLEINS ( Bouches-du-Rhône)

    ALLEINS ( Bouches-du-Rhône)

    Ancien escalier de communication entre le village et le château ; la coupole en pierre ainsi que les petites ouvertures carrées évoquent le XVIème siècle.

     

    ALLEINS ( Bouches-du-Rhône)

    Tour d'angle de l'enceinte du XVIème siècle.

    Réutilisée naguère par un moulin (meule visible près de l'entrée), elle est actuellement occupée par un restaurant.

    ALLEINS ( Bouches-du-Rhône)

    Au-dessus le chemin de ronde

    ALLEINS ( Bouches-du-Rhône)

    et en faisant demi-tour, plus bas, on se trouve face à la mairie.

    Puis, en remontant le " Cours V. Hugo"

    ALLEINS ( Bouches-du-Rhône)

    qui est devenu la rue principale du village, nous arrivons à la place Borrély :

    ALLEINS ( Bouches-du-Rhône)

    C'est l'âme du village où sont, côte à côte depuis des siècles, l'église et un bar.

    ALLEINS ( Bouches-du-Rhône)

    Eglise paroissiale Saint-Pons avec son clocher hexagonal.

     

    A la sortie nord du village, sur une petite colline, on découvre

    les vestiges d'un moulin à vent

    ALLEINS ( Bouches-du-Rhône)

    La construction actuelle date de 1607 mais un moulin existait déjà à cet emplacement dès 1551.

     

    ALLEINS ( Bouches-du-Rhône)

     Adossée au mur du cimetière, la chapelle Saint-Pierre.

    C'est la plus ancienne des trois chapelles romanes d'Alleins. Elle date du début du XIème siècle et elle dépend de l'abbaye de Montmajour. La façade fut remaniée entre 1874 et 1884.

     

    En suivant la route des oratoires, on découvre la chapelle Saint-Jean :

    ALLEINS ( Bouches-du-Rhône)

     

    ALLEINS ( Bouches-du-Rhône)

    Cette chapelle rurale du XIIème siècle a été récemment rénovée par l'association des Amis du Vieil Alleins.

     

    ALLEINS ( Bouches-du-Rhône)

    Grâce à ces photos, j'espère que vous aurez passé un moment agréable dans ce village inondé de soleil...

    A bientôt !


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  • L'été en Puisaye selon Colette et aussi comme je le ressens :

    L ETE EN PUISAYE

    L ETE EN PUISAYE

    " Et si tu passais entre les prairies fauchées, à l'heure où le soleil ruisselle sur les meules rondes qui sont les dunes de mon pays, tu sentirais à leur parfum, s'ouvrir ton  cœur." (Colette)

     

    L ETE EN PUISAYE

    L ETE EN PUISAYE

    Oui, toutes ces senteurs sont là, à portée de la main, ainsi que ces couleurs.

    L ETE EN PUISAYE

    L ETE EN PUISAYE

     

    L ETE EN PUISAYE


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  • Nous allons visiter le domaine de la Bonde.

    Cet ensemble comprend :

    MILLY-LA-FORET (Essonne) : suite et fin

    Le lavoir de la Bonde

    Il fut construit en 1883  à proximité du château puis remis en état en 1964. Il est doté d'une vanne en bois appelée la bonde, qui permet de faire barrage et de contrôler le niveau de l'eau. Il était destiné à l'origine à la "petite lessive" pratiquée une ou deux fois par mois au début du XIXème siècle.

    MILLY-LA-FORET (Essonne) : suite et fin

    Le pont de la "Corne"

    Il fut reconstruit en 1859 et sépare le lavoir de l'abreuvoir

    MILLY-LA-FORET (Essonne) : suite et fin

    Cet abreuvoir à trois pentes, au fond pavé, joua un rôle considérable jusqu'en 1930 ; les animaux domestiques fort nombreux s'y désaltéraient quotidiennement.

    En arrière plan, le château de la Bonde présente une belle façade avec ses deux tours rondes crénelées :

     MILLY-LA-FORET (Essonne) : suite et fin

    MILLY-LA-FORET (Essonne) : suite et fin

    Ce château dont certaines parties datent du XIIIème siècle, a été reconstruit et agrandi vers 1475 par l'Amiral de Graville. Il présente un corps de logis principal défendu par un pont-levis.

    Le château de la Bonde est une propriété privée qui ne se visite pas.

    La maison de Jean Cocteau

    MILLY-LA-FORET (Essonne) : suite et fin

    La rue du Lau, pavée et aménagée à l'ancienne avec son caniveau central, se termine en cul-de-sac devant une double porte cochère romane et une porte piétonne.

    MILLY-LA-FORET (Essonne) : suite et fin

    Flanquée de deux tourelles à "deux couleurs"  à demi-engagées, avec sa façade de style Louis XIII, c'est dans cette demeure, appelée autrefois la maison du Gouverneur, que Jean Cocteau passa les 17 dernières années de sa vie .

    Pour s'éloigner de la foule et du bruit de la capitale, il acquit cette maison datant du XVIIème siècle, en 1947 , avec Jean Marais ; il y vécut jusqu'à sa mort en 1963.

    MILLY-LA-FORET (Essonne) : suite et fin

    Sa maison côté jardin

     

    MILLY-LA-FORET (Essonne) : suite et fin

    Lavoir du Coul'd'eau

    Ce lavoir et son bac de rinçage sont alimentés par une source appelée "la Fontaine du cheval Blanc" ; comme tous les lavoirs sur source, il fut construit sur un plan carré pour lui donner un aspect plus protecteur.

    MILLY-LA-FORET (Essonne) : suite et fin

    Sa charpente actuelle, provenant du lavoir Saint-Laurent, fut installée en 1920. Il fut régulièrement utilisé jusque dans les années soixante.

    MILLY-LA-FORET (Essonne) : suite et fin

    Lavoir Saint-Laurent

    Lavoir relativement loin de la ville de Milly, rapidement abandonné et dont la charpente a été installée au lavoir du Coul' d'eau.

     

    La Chapelle Saint-Blaise des Simples

    MILLY-LA-FORET (Essonne) : suite et fin

    Contractée en Orient, la lèpre avait été répandue par les croisés dans notre région. C'est dans cette chapelle du XIIème siècle, dernier témoin de l'existence d'une maladrerie, que venaient prier les lépreux en invoquant "Saint Blaise" le guérisseur.

    MILLY-LA-FORET (Essonne) : suite et fin

    Vendue à la Révolution, la chapelle "endormie" resta vide et oubliée, entourée de champs et de plantes médicinales.

    MILLY-LA-FORET (Essonne) : suite et fin

     

    MILLY-LA-FORET (Essonne) : suite et fin

     En 1959, Jean Cocteau, sollicité par les élus de la ville, décore l'intérieur de la chapelle sur le thème des "Simples" et de la "Résurrection".

    C'est dans cette chapelle, où tout est simplicité et humilité qu'il repose pour l'éternité.

    MILLY-LA-FORET (Essonne) : suite et fin

    La grande dalle porte en signature ces simples mots de fidélité "Je reste avec vous".

    MILLY-LA-FORET (Essonne) : suite et fin

    La chapelle est encore de nos jours entourée d'un jardin botanique qui regroupe les plantes médicinales cultivées depuis toujours à Milly.

    MILLY-LA-FORET (Essonne) : suite et fin

    Dans le jardin, se trouve également une cloche datant de la construction des Halles de Milly ; elle servait autrefois pour signaler l'ouverture et la fermeture des marchés ; elle sonna jusqu'en 1925 !!

     

    MILLY-LA-FORET (Essonne) : suite et fin

     

      Ces photos et commentaires vous donneront peut-être le désir de vous arrêter à Milly-la-Forêt et de vous imprégner du souvenir de Jean Cocteau !


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  • MILLY-LA-FORET (Essonne)

    Ce jour, la ballade vous conduira en Ile de France.

     

    MILLY-LA-FORET (Essonne)

    Milly-La-Forêt est une commune située au cœur du Parc Naturel Régional du Gâtinais.

     

    MILLY-LA-FORET (Essonne)

    L'Hôtel de Ville

    Autrefois, à cet emplacement se trouvait l'Hôtel Dieu, établissement charitable fondé vers l'an 630. Le bâtiment actuel est représentatif du style officiel à l'époque, façades symétriques soulignées de pierre de taille avec une partie centrale en avancée. A noter le fronton avec son horloge surmontant le balcon en encorbellement et le perron.

    Le nouvel Hôtel de Ville fut inauguré les 27 et 28 octobre 1895.

     

    MILLY-LA-FORET (Essonne)

    Les boulevards

    Les plantations de tilleuls, marronniers et platanes, disposés en mails constituent une ceinture végétale rappelant la disposition et le tracé des anciennes fortifications de la ville.

    MILLY-LA-FORET (Essonne) 

    Une rue à Milly

     

    MILLY-LA-FORET (Essonne)

    D'autres rues

     

    MILLY-LA-FORET (Essonne)

    L'église Notre-Dame de l'Assomption

    Fondée au XIème siècle, c'est d'abord une chapelle attenante au château féodal ; partiellement détruite lors de la guerre de Cent ans, elle est reconstruite vers 1485. Son clocher haut de 57 mètres domine les environs.

    MILLY-LA-FORET (Essonne)

    Le portail  Saint-Pierre 

    Le  beau  porche  ogival qui s'ouvre aujourd'hui dans la façade ouest de l'église Notre-Dame, appartient au gothique rayonnant.

    Ce porche a été prélevé en 1633 sur les ruines de l'église Saint-Pierre, alors église paroissiale. Entourée d'un cimetière, cette église a été incendiée comme les autres monuments de la ville en 1433. Saint-Pierre n'a pas été reconstruite et c'est l'église Notre-Dame qui devient église paroissiale.

     

    MILLY-LA-FORET (Essonne)

    Le colombier

    Cet ancien bâtiment se trouve situé sur l'emplacement de l'ancien monastère de Milly, propriété de Fulbert 1er, seigneur de Milly et officier à la cour de Dagobert 1er au VIIème  siècle. Détruit en 1432, l'ensemble comprenait une vaste ferme dont le colombier ; on peut envisager qu'il est un des vestiges.

     

    MILLY-LA-FORET (Essonne)

    La Porte du Moustier de Péronne

    La Porte du Moustier de Péronne est probablement le vestige le plus ancien de Milly. Elle permettait d'accéder au Moustier, propriété de Fulbert 1er qui obtint la terre de Milly pour "services rendus au roi". Son fils y naquit vers l'an 635.

    Entré en religion, il devint l'apôtre de la Frise (Pays-Bas) puis évêque de Sens avant de se retirer à Saint-Wandrille où il mourut en 720. Quelques-uns de ses ossements sont conservés dans un reliquaire à l'église Notre-Dame de l'Assomption.

     

    MILLY-LA-FORET (Essonne)

    La Halle

     

     MILLY-LA-FORET (Essonne) 

    Elle fut érigée entre le XIIIème et le XVIème siècle ; composée d'une nef centrale et de bas-côtés, elle couvre 730 m2 de la place du Marché. La toiture descendant très bas est supportée par 48 piliers de chêne reposant sur des blocs de grès.

     

    MILLY-LA-FORET (Essonne)

     

    A bientôt pour la fin de la visite de Milly


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  • Au sud-ouest de Camaret, nous allons retrouver les alignements de Lagatjar :

    CAMARET SUR MER (Finistère) : suite et fin.

    Les pierres dressées de Lagatjar attestent que cette extrémité de la presqu'île était habitée, il y a des millénaires.

    Les historiens actuels situent leur origine à environ 2500 ans avant notre ère ; ce site comptait alors plusieurs centaines de mégalithes (environ 600).

    En 1928, il fut décidé de relever les mégalithes encore présents sur le site. On en dénombra 65.

    CAMARET SUR MER (Finistère) : suite et fin.

    Ce sont ceux que l'on peut voir à présent, témoins imposants et énigmatiques de nos lointains ancêtres.

     

    Le chemin qui s'engage sur la lande conduisait autrefois à une demeure baroque et tourmentée : le manoir de Saint-Pol Roux ou manoir du Boultous.

    CAMARET SUR MER (Finistère) : suite et fin.

    Aujourd'hui, du manoir, il ne reste que des ruines désolées.

    CAMARET SUR MER (Finistère) : suite et fin.

     

    CAMARET SUR MER (Finistère) : suite et fin.

     

    CAMARET SUR MER (Finistère) : suite et fin.

    CAMARET SUR MER (Finistère) : suite et fin.

     

    CAMARET SUR MER (Finistère) : suite et fin.

    En suivant le sentier, vous contournerez le manoir sur la droite ; là-bas, face à la mer, de nombreux rochers vous attendent... Prenez le temps de vous asseoir et laissez-vous bercer par le clapotis des vagues et la musique du vent.

    CAMARET SUR MER (Finistère) : suite et fin.

     

    CAMARET SUR MER (Finistère) : suite et fin.

    CAMARET SUR MER (Finistère) : suite et fin.

    Quelques mots sur Saint-Pol Roux

    Pierre Paul Roux naît à Marseille en 1861. A 20 ans, il arrive à Paris, fréquente les milieux littéraires, écrit des poèmes et prend le nom de Saint-Pol Roux pour signer ses œuvres.

    Lassé du monde parisien, il se fit construire, en 1904, à Camaret, face à la mer, un manoir à l'architecture tourmentée :

    CAMARET SUR MER (Finistère) : suite et fin.

    Photo prise sur le "net"

    Hospitalisé à Brest, victime des horreurs de la guerre, c'est dans cette Bretagne tant aimée qu'il meurt le 18 octobre 1940. Il est inhumé au cimetière de Camaret.

    CAMARET SUR MER (Finistère) : suite et fin.

    Je souhaite que ces photos vous donnent le désir de vous arrêter à Camaret si vous passez dans la région.

    A bientôt !

    CAMARET SUR MER (Finistère) : suite et fin.

     

     


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  • Non loin de la chapelle, on accède à la tour Vauban, tour de défense côtière construite entre 1693 et 1696.

    CAMARET SUR MER (Finistère) : suite

    CAMARET SUR MER (Finistère) : suite

    Cette tour, en partie détruite lors de la Seconde Guerre Mondiale, fut ensuite restaurée.

    CAMARET SUR MER (Finistère) : suite

    CAMARET SUR MER (Finistère) : suite

    Nommée aussi la tour Dorée, elle était destinée à protéger le mouillage de l'anse de Camaret et à repousser une éventuelle attaque venant de la mer. 

    CAMARET SUR MER (Finistère) : suiteEE

    Et au bout de la digue, voici le phare, éternel veilleur.

    CAMARET SUR MER (Finistère) : suite

    En revenant sur nos pas pour nous diriger vers les quais, et après avoir pris le temps d'observer Dame Mouette,

    CAMARET SUR MER (Finistère) : suite

    nous faisons une halte près du cimetière des bateaux.

    CAMARET SUR MER (Finistère) : suite

     

    A demain pour la fin de la visite.

     

     


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  • Le port de Camaret, situé entre Brest et Quimper, se niche à l'ouest de la presqu'île de Crozon.

    CAMARET SUR MER ( Finistère)

    En 1961, Camaret était le premier port langoustier d'Europe.

    CAMARET SUR MER ( Finistère)

    CAMARET SUR MER ( Finistère)

    Le port de plaisance et ses voiliers

    CAMARET SUR MER ( Finistère)

    CAMARET SUR MER ( Finistère)

    Toujours le port et les quais

    CAMARET SUR MER ( Finistère)

    Une mouette en promenade

     

    A l'extrémité du sillon (levée naturelle de galets) s'élève une chapelle dédiée à Notre-Dame de Rocamadour.

    CAMARET SUR MER ( Finistère)

    La première chapelle Notre-Dame de Rocamadour a été construite en 1183.

    La chapelle actuelle a été édifiée de 1610 à 1683. Détruite en 1910 par un incendie, elle a été restaurée dans son aspect primitif.

    CAMARET SUR MER ( Finistère)

    Extérieur de la chapelle

    CAMARET SUR MER ( Finistère)

    Façade

    CAMARET SUR MER ( Finistère)

    La porte d'entrée (de style gothique flamboyant)

    Maintenant, entrons :

    CAMARET SUR MER ( Finistère)

    Intérieur de la chapelle.

    CAMARET SUR MER ( Finistère)

    CAMARET SUR MER ( Finistère)

    CAMARET SUR MER ( Finistère)

    A l'intérieur de cette chapelle, on remarque trois maquettes en bois de magnifiques bateaux suspendus au plafond.

    Voici les bateaux plus détaillés :

    CAMARET SUR MER ( Finistère)

    La Belle Etoile CM 2705 

    CAMARET SUR MER ( Finistère)

    Le "Souvenir"

    CAMARET SUR MER ( Finistère)

    La Stella Matutina

     

     Demain, nous continuerons la visite de Camaret

    CAMARET SUR MER ( Finistère)


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  •  Situé entre les Monts du Vaucluse et le Grand Lubéron, le Colorado de Rustrel s'étend sur plus de 30 hectares.

    RUSTREL (Vaucluse) : le Colorado Provençal

    Vestiges d'un passé récent, les paysages ont été sculptés au gré de de l'exploitation des carrières d'ocre. Avec ses couleurs diverses, il s'en dégage une ambiance fascinante :

    - teintes diverses depuis le jaune pâle jusqu'au carmin foncé

    - relief varié constitué de falaises, pitons, promontoires, ravins.

    On découvre le Colorado grâce à des promenades pédestres de 2 à 3 heures ; pour l'apprécier pleinement, il faut partir tôt le matin lorsque le soleil ne "brûle" pas encore car la végétation est peu abondante et il n'y a aucun point d'eau.

     

    RUSTREL (Vaucluse) : le Colorado Provençal

    RUSTREL (Vaucluse) : le Colorado Provençal

    Un parking ombragé accueille les voitures pour le temps de la randonnée.

    RUSTREL (Vaucluse) : le Colorado Provençal

    RUSTREL (Vaucluse) : le Colorado Provençal

    Nous partons...

    RUSTREL (Vaucluse) : le Colorado Provençal

    RUSTREL (Vaucluse) : le Colorado Provençal

    RUSTREL (Vaucluse) : le Colorado Provençal

    des cheminées

    RUSTREL (Vaucluse) : le Colorado Provençal

    RUSTREL (Vaucluse) : le Colorado Provençal

    RUSTREL (Vaucluse) : le Colorado Provençal

    des falaises

    RUSTREL (Vaucluse) : le Colorado Provençal

    au pied d'une falaise

    RUSTREL (Vaucluse) : le Colorado Provençal

    RUSTREL (Vaucluse) : le Colorado Provençal

    RUSTREL (Vaucluse) : le Colorado Provençal

    le chemin dit "rivière de sable" traversant le "désert"

    RUSTREL (Vaucluse) : le Colorado Provençal

    toujours la rivière de sable !

    RUSTREL (Vaucluse) : le Colorado Provençal

    RUSTREL (Vaucluse) : le Colorado Provençal

    Le désert

    RUSTREL (Vaucluse) : le Colorado Provençal

    une cheminée en cours de formation

    RUSTREL (Vaucluse) : le Colorado Provençal

    RUSTREL (Vaucluse) : le Colorado Provençal

    RUSTREL (Vaucluse) : le Colorado Provençal

    De cette découverte du Colorado, je suis revenue les yeux gorgés de soleil et la tête remplie de silence, du silence de la nature fait de mille petits bruits tous plus agréables les uns que les autres.

     

    RUSTREL (Vaucluse) : le Colorado Provençal

     

    A bientôt !

     


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