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Pas à pas l'année 2016 s'en va,
Pas à pas l'année 2017 s'en vient
Que cette nouvelle année soit parsemée d'éclats de joie, de pétales de bonheur, qu'elle soit éclairée par la flamme de l'amour et l'étincelle de l'amitié.
A tous mes ami(e)s, BONNE ET HEUREUSE ANNEE !
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La Fête de Noël est le plus beau jour pour chasser les soucis et les souffrances, pour laisser place à la paix, le bonheur et l'amour, pour profiter de ses proches.
A vous, amis, amies qui passez sur ce blog , JOYEUX NOËL !
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A mi-distance environ de la Porte de Joigny et de la Porte de Sens, nous arrivons à l'église : Notre-Dame-de-l'Assomption :
Derrière la façade Renaissance, œuvre de l'architecte jovinien Jean Chéreau, se cache un des plus beaux édifices gothiques de l'Yonne.
Commencée au XIII ème siècle, Notre-Dame de l'Assomption fut complétée au XIVème et XV ème et achevée au XVI ème siècle.
Elle comporte trois portails bâtis en plein cintre encadré par une profonde voussure formant porche.
Le trumeau du portail central porte une Vierge, tenant sur le bras gauche l'Enfant Jésus souriant à Jean-Baptiste qui lui offre une corbeille de fleurs.
Détail de la statue.
Lorsque nous entrons et que nous nous plaçons au fond de l'église, nous sommes frappés par l'ampleur, l'élégance et l'harmonie du "vaisseau".
La nef.
La lumière, abondante et douce, y pénètre par de grandes verrières.
Vue d'ensemble du chœur et de ses piliers. Le triforium, visible au deuxième niveau de l'abside, appartient à l'architecture bourguignonne.
Le maître-autel en marbre a été édifié à la fin du XVIIIème siècle. Il est entouré de deux palmiers surmontés du triangle rayonnant, ex-voto de l'architecte royal Montpellier (1756).
Le tabernacle est entouré de deux anges adorateurs.
La mise au tombeau est attribuée à Jean goujon d'après une note dans l'église.
Elle a une particularité : le Christ est en bois et il n'est pas proportionné aux autres personnages.
Je pense vous avoir écrit le principal concernant Notre-Dame de l'Assomption.
A bientôt pour la suite de la visite.
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Située au nord du département de l'Yonne, cette ville occupe une position privilégiée au carrefour de la Bourgogne, de la Champagne, du Loiret et de l'Ile de France ; elle mérite le détour car c'est une étape à découvrir ou redécouvrir.
Vue générale
Nous arrivons par la Porte de Joigny :
Construite au XIIème siècle sous le règne de Louis VII, elle fait partie d'un ensemble fortifié comprenant cinq portes qui fermaient et protégeaient la ville jusqu'au XVIIème siècle et est l'une des deux qui subsistent.
Porte de Joigny : extérieur
Porte de Joigny : intérieur
Elle est flanquée de quatre tourelles d'angles, circulaires à l'intérieur et à pans coupés à l'extérieur ; sa façade, ses fenestrages et sa toiture d'ardoise ont été remaniés au XVIème siècle.
Après la Révolution, la Porte de Joigny fut aménagée en mairie jusqu'en 1837 ; actuellement elle accueille des expositions temporaires et un musée.
Dans le jardin du musée se trouve une ancienne meule à broyer les pommes pour la fabrication du cidre ; elle date de 1784 et provient d'une ferme aujourd'hui disparue. Elle a été remontée en 1992.
Nous allons continuer la rue principale pour arriver à la sortie de la ville, à la Porte de Sens, seconde porte qui subsiste toujours :
La Porte de Sens est flanquée de quatre tourelles d'angles défensives, circulaires à l'intérieur et à pans coupés à l'extérieur, tout comme la Porte de Joigny.
Suite sous peu
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